Un rayon de soleil traversa les rideaux. Je me réveillai brusquement à cause d'un cauchemar. J'avais les yeux à moitié ouverts. Le soleil dans la pièce m'éblouissait. Tout ce qui m'était arrivé était un rêve ? Pourtant je me souvenais de rien sauf de cet horrible moment. Une fille entra dans la pièce. Elle avait les cheveux noirs et longs. Ces yeux étaient obscures. Cette fille aux cheveux noirs possédait des bijoux qu'on pouvait facilement remarquer. Elle avait un collier avec une pierre rouge en pendentif, une bague couleur or avec une pierre bleue et enfin une boucle d'oreille composée de quelques pierres violettes. Elle m'adressa la parole :

- Tu es enfin réveillé ce n'est pas trop tôt ! Je m'appelle Orchidée. Oui c'est un nom de fleur dit-on, mais je n'en ai jamais vu de ma vie. Enfin je m'égare. Je t'ai trouvé échouée sur le bord de la rivière qui longe notre village, Lorar. - Et toi ? C'est quoi ton nom ?

- Je n'ai pas de nom. Je dois en avoir un mais je ne m'en souviens plus. J'ai perdu la mémoire. Je me suis réveillée dans une forêt. Et j'ai croisé des genres de monstres. 

- Si tu n'as pas de nom, alors je vais t'en donner un. Ce sera Elie. Et tout le monde c'est ce qui est arrivé il y a quelques années à propos de ces monstres. Mais si tu as perdu la mémoire, je vais t'expliquer. Ici c'est le territoire du royaume Hithéria. Il y a deux autres royaumes dont un, Blumoth, l'ennemie de Hithéria. Le dernier est neutre donc on a nul besoin d'en parler. Blumoth a commencé des expériences. Elles ont mal tournées. Le roi de Blumoth voulait créer une armée d'animaux mythiques comme les dragons par exemple. Il a pris des animaux normaux et les as transformé. Mais au bout d'un an, ils se sont révoltés et ils se sont éparpillés dans le monde. Ces créatures ont pris la place des animaux sauvages. Les animaux domestiques ont réussit à survivre car ils sont restés en compagnie de l'homme ou des elfes. Si tu as oublié aussi les elfes ce sont des hommes avec un corps beaucoup plus fin et gracieux et possède des oreilles pointu. Ah oui ! J'allais oublier. C'est pour ça que dans une auberge on peut voir des grands panneaux. Ce sont des sortes d'affiches où l'on décrit une mission. Les plus fréquentes, c'est de tuer certains monstres. Ces affiches ont des rangs spéciaux. Ils vont du rang I au rang XXX. Ça indique le niveau de difficulté de l'adversaire. Je vais terminer là. Je ne voudrai pas t'embrouiller. Tiens, ta soupe. 

- Merci... beaucoup.

Elle me passa le bol de soupe et restait à me regarder. Je commençai à manger. J'avais terriblement faim. C’était bon. Mais il y avait un peu trop de sel. C'était tout de même mangeable. Une fois finie, elle prit le bol et le posa dans un seau en bois. Je me levai du lit et alla dehors avec Orchidée. Je regardais autour de moi. C'était vraiment un petit village. J’apercevais bien une auberge, un petit magasin et un petit moulin au loin dans les champs. Orchidée regarda les enfants. Elle était plongée dans ses pensée. A quoi pouvait-elle bien penser ?

Une fille assez folle arriva en courant. Elle bafouillait des mots dans tous les sens mais je compris la dernière phrase : « Je te lance un défis ! » dit-elle. Orchidée hocha de la tête en souriant. La petite fille, qui était blonde, sauta sur Orchidée et lui lança une boule de feu. J'avais les yeux écarquillés. Orchidée se la prit de plein fouet mais elle eu seulement quelques égratignures. Comment avait-elle fait ça ? La brune avança dangereusement vers son adversaire en dégainant un couteau et le plaça sous sa gorge. La petite blonde abandonna. Orchidée rangea son couteau en laissant un mot : « tu n'as pas réussi à me battre alors que je n'avais même pas ma faux. Tu t'es améliorée niveau magie. Mais la puissance ne fait pas tout ». Orchidée me présenta à elle. Il s'agissait de Rubis. Elle avait les cheveux mi-long en carré plongeant. Elle avait de magnifiques yeux rouges. Elle était habillée de vêtements légers de couleur noire. Elle était de petite taille. Elle avait vraiment l'air très jeune et d'une personne très excitée. Rubis partit aussitôt après les présentations.

Orchidée me proposa d'aller faire un tour à l'auberge. Elle traînait souvent là-bas. A l'auberge, il y avait toutes sortes de personnes : des gens complètement bourrés par exemple. Un garçon avec des cheveux châtains clairs se faisait souvent remarquer. Il était avec une bande. Ils n'étaient pas habillés comme tous les autres. Orchidée vit que je les regardai et m'expliqua que c'était sûrement des voyageurs. L'un d'eux s'approcha de nous. Il avait aperçu qu'on les regardais. Il nous avait toutes les deux invitées à faire une danse sur la musique. Orchidée refusa. Quant à moi, je n'ai pas pu dire non. Mais je ne savais pas danser. Il avait rit de moi en disant : « Ce n'est pas bien grave ». Il prit ma main et commença à danser. L'autre garçon, celui avec les cheveux châtains, arriva et frappa son compagnon, «  Tu n'en as pas marre de draguer sans cesse ? » dit-il. Le danseur répliqua par «  et alors toi aussi tu dragues non ? Bon pas aussi souvent … ». Son compagnon le prit par le bras et le ramena avec les autres. Orchidée était revenue vers moi en me disant qu'elle n'aimait pas ces gars.

On rentra chez elle. Orchidée me proposa de retourner dans la forêt pour voir s'il y avait des indices pour ma mémoire. Peut-être qu'il y avait quelque chose. En attendant on fit un somme.

J'entendis quelque chose, un bruit assourdissant et d'un coup plus rien. J'avais une affreuse douleur et j'ouvris les yeux. J'étais allongée par terre. Je vis une de mes jambes en sang et je poussai un cri de douleur. J'avais tellement mal. Je commençais a pleurer. Il n'y avait personne aux alentours. Je me demandais ce qu'il s'était passé. Soudain, j'entendis un autre bruit. D'où venait-il ? qu'est-ce que c'était ? et la question primordiale, où étais-je ? Je ne me souvenais de rien. Puis j'entendis le bruit s'approcher, encore,  encore plus. Je paniquais. Je ne savais pas ce que c'était... Soudain je vis un buisson bouger. Je pris une pierre et la lança sur le buisson. Ce dernier ne s'agita plus. Je n'entendais plus de bruit. Je me demandais ce que c'était. En tout cas je savais que j'étais perdue dans une forêt assez dense. Il y avait des lianes partout, des arbres gigantesques qui donnaient l'impression qu'ils touchaient le ciel. J'avais vraiment le sentiment d'être un insecte à côté de ces arbres. Il n'y avait pas un seul rayon de lumière qui traversait les arbres et pas un seul animal en vue.

Quelques heures passèrent. J'étais toujours blessée à la jambe et j'aperçus une chose dans les airs , une sorte d'oiseau. Ça ressemblait à un aigle géant avec des serres acérées. Son bec était strié de rayures rouges. Il avait aussi un plumage noir et sur ses ailes découvrait quelques plumes rouges. Je n'avais jamais vu ça. Mais pour ça il aurait peut-être fallu que je me souvienne comment j'étais arrivée la. L'oiseau fonça sur moi. Je ne pouvais pas bouger d'un pouce. J'étais paralysée par la peur. Mes jambes refusaient de répondre. Je ne savais pas quoi faire et juste avant qu'il m'attrape avec ses pattes, je réussi a  rouler par terre pour l'esquiver. Il revint à la charge. cette fois ma seule solution était de m'enfuir. Je me levai difficilement et marchai jusqu'à un arbre pour me cacher derrière. L'oiseau fonça dans l'arbre. Ce chêne tomba dans ma direction.  Je réussi à aller sur le côté pour ne pas être écrasée. L'oiseau était posé devant moi. Il faisait au moins vingt fois ma taille. Subitement, il battit des ailes. Je m'accrochai à quelque chose mais j'avais fini par m'envoler. Je me pris toutes les branches d'arbres pour finalement voir enfin la lumière la du soleil. L'espèce d'aigle arriva vers le bas et ouvrit son bec en fonçant vers moi. Je retombai vers l'oiseau. Ce dernier me loupa de peu. Je m'accrochai aux plumes de son crâne pour ne pas tomber. Il secoua sa tête dans tous les sens. Je tins bon. Je ne voulais pas tomber. Le volatile se dirigea vers une montagne où régnait le tonnerre. J'imaginais que ma vie se terminerai maintenant mais je ne pus m'y résoudre. Je regardai un moment dans le ciel. Un énorme nuage rempli d'électricité nous frappa. Le tonnerre nous foudroya, l'oiseau et moi. On s'écrasa au sol. Il m'avait bien servi cette fois, je l'avais utilisé comme coussin amortisseur pour  ma chute. Je descendis de l'oiseau.

Je marchais difficilement. J'arrivai en haut d'une falaise, juste à son pied , il y avait une rivière avec un courant assez fort. Je regardai en bas. C'était énormément haut. Je me retournais pour faire demi-tour mais une bête ressemblant à un loup s'approcha de moi. Il avait des pattes très développées et grandes, des croc acérés . Il avait trois os qui dépassaient de son dos, une crinière comme celle des hyènes. Je commençai à me poser des questions,  était-ce un cauchemar ? si non , qu'est-ce que c'était que ce délire ? La bête féroce s'approcha de moi. J'avais reculé un peu mais je fus vite arrêtée par le bord de la falaise. J'étais de toute évidence coincée. Je ramassai un bâton et me mis en garde. Il me sauta dessus avec sa gueule grande ouverte. Je lui coinçai le bâton dans celle-ci et il me bouscula. Je tombai de la falaise. Était-ce la fin pour moi ?

La fille de cristal

Je ne voyais pas qu'elle allait mal.
Par mon bonheur, j'étais aveuglée.
Je savais qu'elle était fragile comme du cristal,
Mais je ne l'ai pas protégée.
Elle a failli mourir,
Dans son lit d'hôpital,
Pendant que j'étais entrain de rire,
Avec mon petit ami au bal.
Maintenant je m'en veux tellement.
Pourtant, elle ne m'a pas laissé le temps,
De lui dire que je m'en voulais vraiment,
Que plus tard, je m'en voudrais autant.
Je l'ai regardée partir,
Je ne pouvais faire autrement,
Ce qui me manque le plus est son sourire,
Mais dans la société d'aujourd'hui,
On ne peut plus se passer de médicaments,
Et maintenant dans notre vie,
On peut donc mourir facilement ...
Comme je lui avais dit,
Elle a laissé derrière elle, ceux qui ne la méritaient.
Comme je lui avais dit,
Elle a contourné le chemin escarpé.
Mais cela l'a fragilisée,
Je lui en veux, mais si seulement,
Elle m'avait fait signe,
Et si seulement,
Elle voulait une mort digne.
Tout est de ma faute,
J'aurais dû mieux la protéger,
Tout est de ma faute,
Je l'ai vu sombrer.
Et je n'ai rien fais.

                                                               < Elaina >

# Comme toute création, ces écrits ont demandé un travail personnel et du temps, le plagiat est donc interdit. #

Amour Impossible

L'amour que je porte pour toi,
Il est bloqué par cette distance ...
Je suis sûr de pouvoir passer outre cela,
Mais toi ... Je me demande si tu pourras.
Ne jamais pouvoir voler tes lèvres ...
Ne pas sentir la chaleur de tes bras ...
Ton manque me fait monter en fièvre,
Et sans toi, je me retrouve bien bas.
Ne pas pouvoir te voir ...
Seulement à travers cet écran ...
Avoir envie d'y croire ...
Car je t'aime tant ...
Certains diront que c'est idiot.
J'espère que toi, tu comprends le sens de mes mots ....
Ceux de l'Amour Impossible ...
Celui qui n'est pas accessible ...
Nous n'avons pas de chance ...
Certains arrivent à traverser cette distance ...
Mais nous, nous sommes bloqués ...
Loin de la vérité ...
J'ai besoin de ça ...
Car si je pouvais, je passerai ma vie dans tes bras.

                                                                         < Tomosoka >

# Comme toute création, ces écrits ont demandé un travail personnel et du temps, le plagiat est donc interdit. #

Bienvenue sur la section Poèmes !

Vous y trouverez plusieurs poèmes en tout genre, tous imaginés et rédigés par des auteurs en herbe que voici : 

- Tomosoka 
- Darkness7Angel
- Night 
- Aeshiro 
- Elaina 

D'ailleurs, tout le staff se joint à moi pour les remercier d'avoir accepté la publication de leurs oeuvres sur Yuuka Next.

Et autrement, tout auteur souhaitant déposer ses poèmes ici sera accueilli à bras ouverts. 

Comme toute création, ces écrits ont demandé un travail personnel et du temps, le plagiat est donc interdit.

Cela dit,
Merci à vous de prendre du temps pour les lire.
Et oui,
Ca nous ferait très plaisir !
Nous vous souhaitons un très bon moment,
Et une bonne lecture, en espérant,
Que tous ces poèmes vous plairont.
N'hésitez pas à donner vos impressions,
Qu'ils soient drôles ou sérieux,
Qu'ils soient tristes ou joyeux,
C'est aussi pour vous qu'ils sont là,
Alors ne vous privez pas.

< Elaina >